Entre le développement des fichiers RAW et le « stitching », le travail de post-production qui m’attend va demander une puissance considérable et nécessiter une machine très musclée. Deux collaborateurs vont m’épauler dans cette tâche.

D’un côté Mathilde Detrez, étudiante aux Beaux-Arts, à qui je confierai la partie traitements et qui prendra activement part à la composition artistique finale (mélange des six panoramas).

De l’autre Arnaud Frich, lui aussi spécialiste de la photo panoramique et dont l’expérience sera précieuse — il a notamment réalisé une vue 26 gigapixels de Paris depuis la butte Montmartre.

Nous réfléchirons ensemble à la méthodologie. Il formera également Mathilde aux techniques de retouche (Adobe Lightroom pour développer les fichiers Raw, Adobe Photoshop pour traiter les panoramas), et d’assemblage (PTGui).

Outre la puissance de l’ordinateur, Arnaud considère comme impératif de disposer d’au moins 64 Go de Ram. En effet, la phase finale consiste à mélanger les panoramas des quatre saisons, soit six fichiers extrêmement lourds. Notre choix : un Mac Pro avec la Ram requise et deux écrans Asus VC239H 23″ calibrés au moyen d’une sonde X-Rite CMUNDIS ColorMunki Display.